De la grosse flemme de l'écrivain
Parce que des images valent mieux qu'un long discours (et surtout que j'ai une flemme incroyable :op )...
Et pour vous donner une véritable idée de ma flemme, ambiance musicale très hippie featuring Jefferson Airplane (and the rabbits, si, si !)
Entrons dans le manège et marchons un peu, Marsu.
Attention, patate à roulettes à 3 heures !
Enfin cédé ? Tiens, pour la peine, je t'accompagne avec mes bras !
Descends, je le veux...
Patate à roulettes à l'horizon !
On lâche tout avant la collision.
Mais pourquoi elle se marre, là haut ?
Soyons un peu sérieux.
Mais quand on est poursuivi par une patate à roulettes, c'est dur de rester zen.
Alors, quand on est un Marsu, on commence par raidir tous ses petits muscles, des fois que la patate nous fonde dessus ...
(NDLR : *fonde* comme un aigle sur sa proie, quoique, ce serait préjuger des capacités patatesques. En terme de pataterie, et au vu de la morphologie du Cavalierus Patatus, *fondre* non pas comme un glace mais comme un vieux munster oublié sur une plage arrière en plein soleil serait plus approprié).
Et ça résiste, et ça résiste... Frôlage de fesses par une patate, point ne pardonne.
Et pour oublier les affres patatesques et le grincement de ses roulettes, tentons un aller simple vers le bas.
Eh, Marsu, j'ai pas dit "on plonge !" Si ? C'est ce que tu avais compris ?
(NDLR : il ne comprend rien, ce cheval. Ou alors, juste ce qui l'arrange)
Chers lecteurs, vous constaterez (avec j'espère un enthousiasme non dissimulé) que je ne vous ai pas épargné mes moments de faiblesse et ma position de loukoum en phase gazeuse...
J'ose également espérer que vous m'en serez au moins éternellement reconnaissants !
(N'importe quoi ! Je crois que je ferai mieux d'aller voir ailleurs si j'y suis ;op)