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My own *Nakhal Jones* Diary
10 décembre 2006

De l'enroulement du terroriste

Sound of the day : une de mes fantaisies du moment.

Notez le retour non particulièrement recherché mais apprécié de mon passé dark-tout-en-noir avec les Vampires Chronicles sous le bras, puis à la recherche de Lestat dans les Halles....
En réalité, pour ce titre, pas grand chose à voir réellement, mais il m'y fait penser.
Et comme avait fort justement répondu ma soeurette l'inspecteur Derrick à une question que lui posait mon oncle, alors qu'elle ne devait pas avoir plus de 13 ans, lors d'un déjeuner de Noël où l'ambiance musicale était résolument Schubertienne et que passait alors "La Truite"...
Mon Oncle : La truite de Schubert. Mais à quoi cela te fait-il penser ?
L'inspecteur Derrick : A Roger Waters.
Mon Oncle (l'air ahuri) : Mais pourquoi à Roger Waters ?
L'inspecteur Derrick : Parce que j'y pense tout le temps.
(Et vous voulez répondre quoi à ça, hein ?)
Donc, ce titre me fait penser aux Vampire Chronicles, probablement parce que 1/ j'y pense tout le temps et 2/ je suis en train de dévorer Blood and Gold ou la biographie de Marius, et que j'attends avec impatience de recevoir Merrick...
Bref. Fin de la parenthèse !

Revenons donc à Marsu.
Nous continuons à travailler dans la même veine : bas, rond, enroulé, avec deux maîtres mots : tension et décontraction.
Ne tirez pas tout de suite : enroulé, oui, bas, oui, rond, oui, mais... ce n'est pas de la rollkur. Et ça, j'en suis persuadée. Le concept qui domine tout le travail est la décontraction du cheval dans son dos, sa bouche, son mental. Et c'est assez simple à vérifier quand on connaît son cheval. D'autre part, postérieurs dessous et cheval en avant, en équilibre, dans une cadence lente, qui utilise son dos de la nuque à la pointe de la queue.

Je sais qu'il n'est pas *politiquement correct* pour tous de travailler enroulé, mais il y a "enroulé" et "enroulé". Et ce qui m'importe, c'est la mise en place puis le fonctionnement du dos, la communication et la réactivité entre mon dos et celui de mon cheval en termes d'équilibre et de cadence (donc, en poussant plus loin... en terme de rassembler, si je n'oublie pas mes jambes).

J'ai introduit dans nos détentes de manière systématique les variations d'amplitude au trot sur le cercle (18 ou 15 mètres, pas 20 : cheval doit apprendre à se tenir), alors qu'avant je ne les travaillais qu'après la détente. Maintenant, c'est dès le début du trot, et en étant intransigeante sur l'atittude et en demandant mes transitions dans l'allure en faisant passer le cheval d'une jambe sur l'autre.
Je suis bluffée par la réactivité de Marsu et l'élasticité de son trot. Il commence à être capable de se mobiliser dès le début du travail.
Au galop, je fais le même exercice avant d'aborder les exercices classiques de notre détente (lignes courbes, contre changements de main, voltes...)

Je suis donc assez convaincue par ce cran passé, toujours dans la lignée de ce que nous avions commencé avec Marsu.
Et j'avoue que je ne regrette aucunement d'avoir essayé puis choisi ce type de travail, qui convient fort bien à Marsu et à moi.

Je crois que je commence à savoir un peu monter à cheval :-)

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